LA PILULE CONTRACEPTIVE

La PILULE CONTRACEPTIVE est l’un des symboles forts de la révolution sexuelle des années 60-70. Depuis, la majorité des femmes qui vivent dans les pays développés, l’utilisent sans savoir que cette pilule comporte des risques pour leur santé…

LA PILULE CONTRACEPTIVE

Quels sont les risques ?

Les Pilules contraceptives et les Substituts hormonaux prescrits aux femmes ménopausées sont classés cancérigènes par le CIRC (Centre Internationnal de Recherche sur le Cancer, organisme dépendant de l’OMS), car ils sembleraient être à l’origine de l’augmentation des cancers du sein, du col utérin et du foie.
Ainsi, pendant plus de quarante ans, les femmes ont servi de cobayes aux Multinationales Pharmaco-chimiques.

La situation :

De nos jours, la Pilule contraceptive est prescrite très régulièrement pour soulager les règles douloureuses ou pour soigner l’acné, aux jeunes filles/femmes, malgré les risques possibles sur leur santé hormonale et mentale.

De nombreux médecins et leurs patientes sont convaincus que la ménopause est une endocrinopathie – une maladie dûe à une carence en œstrogènes.
Il est ainsi toujours conseillé aux femmes de compenser l’insuffisance inhérente de la nature, par des hormones chimiques : les stéroïdes (souvent non testés).

Le cas des adolescentes : la plupart des jeunes filles d’aujourd’hui vivent dans des situations difficiles : problèmes familiaux et sociaux, préoccupations financières, problèmes de santé, difficultés scolaires. Leur corps se transforme également et par forcément dans le bon sens. Le stress est leur ennemi quotidien.
Leur alimentation est désuète, ces jeunes filles sautent des repas, mangent des aliments transformés chimiquement et suivent des régimes qui leurs coûtent plus chers en argent et santé, qu’ils ne leur rapportent en bénéfice bien-être.
Leur santé hormonale est déréglée provoquant l’apparition de syndromes prémenstruels (SPM), règles douloureuses, absentes ou irrégulières, kystes ovariens, ovaires polykystiques, fibrose kystique des seins (seins nodulaires, douloureux), endométriose, migraines hormonales, acné, allergies, fatigue et sautes d’humeur…
Même si certaines adolescentes acceptent de vivre avec ces dérèglements les pensant passagés, d’autres consultent un médecin. Pour la plupart, il leur sera prescrit une Pilule contraceptive (qui rappelons-le est un mode de contraception pour éviter de tomber enceinte et en aucun cas un médicament pour soigner les maux de tête !).
Ainsi la médecine actuelle préfère régler les problèmes en prescrivant du chimique et convaincre les femmes que le problème vient de la menstruation et que les cycles reproductifs naturels sont dangereux, sources de maladies et devaient donc être désactivés en utilisant les hormones stéroïdiennes, alors qu’il s’agit principalement de déséquilibres hormonaux dûs aux nombreux abus des conditions de vie moderne (qui pourraient être traités par des techniques de médecines douces, tel que la médecine chinoise, la Kinésiologie…).

Quelles pilules, quels risques ?

Il existent de nombreuses pilules : celles à faible dosage combinant œstrogènes et progestatifs, celles microdosées exclusivement à base de progestatifs…
En clair, toutes les pilules synthétiques sont à éviter !

En l’an 2000, les œstrogènes stéroïdiens employés dans l’hormonothérapie substitutive et les contraceptifs oraux sont considérés cancérigènes par tous les Organismes de Santé.
La majorité des femmes prenant la Pilule contraceptive n’ont malheureusement pas conscience d’ingérer en réalité des produits nocifs pour leur corps, ni ne sont informées des véritables risques potentiels.
Prendre la pilule n’a rien de naturel, car il s’agit d’une « castration chimique » qui stoppe le cycle reproductif naturel et peut abîmer les ovaires de façon irréversible, entraînant une stérilité.
Plus une femme prend la pilule jeune, plus elle a de risque de développer un cancer du sein, car son tissu mammaire qui n’a pas achevé son développement est particulièrement sensible à la stimulation accrue des œstrogènes chimiques.

Liste des risques et symptômes possibles :
> Les plus graves : cancer du sein, cancer du col de l’utérus, cancer de la peau, toxicité hépatique, crises cardiaques, caillots de sang, ostéoporose, dysfonctionnement immunitaire, grossesse extra-utérine…
> Les plus courants : migraines, nausées, vomissements, allergies, prise de poids, changement d’orientation sexuelle, développement de la pilosité faciale, tension des seins, dépression, perte des cheveux, incidence accrue des vaginites…

Le trouble dysphorique prémenstruel :
De nombreuses femmes souffrent d’un nouveau « trouble mental » appelé trouble dysphorique prémenstruel (TDP). Il s’agit d’un syndrome prémenstruel (SPM), qui concerne en général moins de 10% des femmes réglées.
Ce trouble mental se caractérise par les symptômes suivants : tristesse, désespoir, anxiété, dépression, auto-dépréciation, tension, irritabilité, colère, sensation de fatigue, baisse d’énergie, modification de l’appétit, gonflement des seins…
La solution : faire avaler aux patientes une pilule rose et lavande, la première et la seule prescription contre le TDP. Cette pilule contient du chlorhydrate de fluoxétine, (un ingrédient actif du Prozac qui est peu recommandable également). Utiliser une maladie imaginaire, pour enrichir les laboratoires Pharmaco-chimiques au détriment de la santé véritable des femmes et donc de la Vie. D’autre-part, ingurgiter un médicament chimique revient à détruire la mémoire génétique, fondement naturel de tout Être humain.
Le but ? Faire du profit certes mais peut-être aussi transfomer les femmes et par voie de conséquence les hommes en Êtres virtuels aux cerveaux chargés de toxines. Que deviendra le libre arbitre dans tout ça ?

Un médicament chimique ne résoudra en rien les troubles de santé des Êtres humains et pour cause, il s’agit d’un corps étranger qui a pour principe même de perturber le métabolisme naturel. Ce qui peut entraîner des réactions inhabituelles voire dangereuses chez les personnes qui sont « légumisées » par ces produits dont nous ne savons pas vraiment ce qu’ils renferment. Les laboratoires se gardent bien de tout dire. Et puis si vraiment le chimique est bon pour la santé, pourquoi autant d’études sont faites pour en prouver le contraire.

De nos jours, des médicaments pour soigner des troubles psychiques sont prescris aux enfants dès l’âge de huit ans. Il serait plus sain et plus juste de proposer aux adolescentes des solutions moins onéreuses (certaines Pilules ne sont pas remboursées et coûtent très cher, quant à celles qui le sont elles contribuent fatalement au déficit de la Sécurité Sociale). Ce même déficit que les citoyens sont en charge de combler avec leurs impôts, pendant que les laboratoires Pharmaco-chimiques s’enrichissent sans cesse en vendant leur poison.

Les praticiens holistiques compétents en médecine chinoise ou en Kinésologie sont de précieux alliés pour permettre aux jeunes filles de retrouver leur bien-être, une image d’elles plus agréable, l’essentiel d’une bonne santé hormonale.

> Découvrez cet article : Pilule et cancer : liaison dangereuse

Toutes les femmes jeunes et moins jeunes et les mères de famille ont la possibilité de changer les mentalités et de faire en sorte que leurs corps redeviennent leurs propriétés et non plus celles des laboratoires.

Des solutions naturelles, il en existe et surtout elles ne coûtent rien financièrement.


 

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